LABÉO, aux côtés de l’ADF, auditionné à l’Assemblée avec sa Présidente

Transparence des décisions publiques :
L’Association des départements de France à l’Assemblée Nationale

Mme Stéphanie Yon-Courtin, vice-présidente du Conseil départemental du Calvados, M. Philippe Herscu, directeur délégué aux territoires de l’Assemblée des départements de France (ADF), M. Guillaume Fortier, directeur général de LABÉO, et Mme Ann-Gaëlle Werner-Bernard, Conseiller Relations avec le Parlement, ont été reçus ce mercredi 23 mai à l’Assemblée Nationale.

labeo-assemblee nationale2L’audition, ouverte à la presse, visait à comprendre et à étudier l’importance de la qualité des autocontrôles pratiqués par l’industrie agroalimentaire et des informations qui en découlent, le cas échéant, auprès des autorités sanitaires de l’État dans le but d’éviter tous dysfonctionnements. La création de cette Commission d’enquête faisait suite à l’affaire dite LACTALIS. Elle doit permettre de tirer les enseignements de l’affaire et de laisser s’exprimer aussi les acteurs publics sur l’importance d’une harmonisation et d’une transparence totale dans les actions de contrôle. Elle s’efforce d’évaluer les divers enchaînements des systèmes de contrôle et d’information, de la production à la distribution, et l’effectivité des éventuelles décisions publiques qui en découlent. L’ADF et notamment LABÉO, ont évoqué le professionnalisme et la compétence des laboratoires publics agréés dans un environnement parfois difficile et soumis à de fortes contraintes. Contraintes qui sont elles aussi celles de l’industrie agroalimentaire, chargée d’élaborer, de transformer des produits et matières premières (lait, viande etc…) sensibles et fragiles.

Outre les échanges généraux, LABÉO a aussi rappelé son partenariat fort avec les industriels dans son accompagnement quasi-quotidien pour accompagner, aider et alerter son client en cas de problème décelé.

Au cœur des propositions faites à la Commission et à ses membres, figure notamment la mise en place systématique d’une surveillance des autocontrôles et la création d’un système d’intérêt économique général.